mercredi 30 mai 2012

Proposition de logement pour les hommes victimes en région parisienne

Bonjour,

nous relayons cette information, initiative accessible sous certaines conditions pour des hommes victimes.

Les choses commencent à bouger petit à petit, et nous ne pouvons que nous en féliciter :

lhttp://soshommesbattus.over-blog.com/article-proposition-d-hebergement-temporaire-105263267.html

samedi 5 mai 2012

Betises, mensonges, contre-vérites, comme trop souvent.

Malheureusement, certaines féministes s'enfoncent encore plus, si cela était possible, dans la prétention et l'absence de respect de tout ce qui ne leur convient pas, ou ne leur est pas soumis, et portent plainte contre le Conseil Constitutionnel.

Voilà donc un signe de plus, qu'enfermer des catégories de personnes dans des positions de victimes, à moins qu'elles ne s'y enferment elles-mêmes, mène à une déconnexion totale de la réalité et du sens des responsabilités.

Il faut également rappeler, contrairement aux mensonges qui circulent dans les médias, qu'il existe pour les victimes la possibilité de porter plainte pour violences, agression sexuelle...entre autre, et là les éléments de l'infraction sont plus précisément définis par la loi.

Par ailleurs, auraient elle peur de parler de la notion de violences psychologiques? Violences dont les hommes seraient aussi souvent victimes?

Il ne serait pas inopportun pourtant de réfléchir à cette notion pour l'élaboration de la nouvelle loi.

Nous sommes à la disposition des médias, si bien sur d'autres points de vue que ceux des féministes les intéressent, pour leur donner le nôtre.

vendredi 4 mai 2012

Le délit de harcèlement sexuel retoqué par le Conseil Constitutionnel

En effet, ce délit est dans la loi particulièrement flou.

Nous avions fait remarquer l'année dernière à un professeur de droit pénal que la définition du délit ne permettait pas de différencier les simples avances du harcèlement.

Il faut croire que nous n'étions pas les seuls à partager cette analyse, puisque le Conseil Constitutionnel a dû être saisi d'une QPC dans ce sens pour rendre cette décision.

Espérons que la prochaine rédaction de la loi sera plus claire.

En effet, avant cette décision, la définition du délit était une porte ouverte à toutes les dénonciations calomnieuses.

Si effectivement le harcèlement sexuel doit être réprimé, la "drague" ou les simples avances ne doivent pas être punis. Sans oublier que les avances peuvent aussi émaner de femmes.